la Psychanalyse
Lyon 9 et Belleville-sur-Saône – Jacques Chapeau
jacques chapeau
Psychanalyste Belleville sur saone
L’objectif est de pouvoir d’abord gérer au mieux les angoisses et les symptômes, de travailler ensuite les répétitions,
avant d’obtenir la liquidation des angoisses et des symptômes.
Un travail de réflexion
En séance de psychanalyse, un travail de réflexion en profondeur est mené avec l’analysant. Il permet, grâce à une technique d’investigation et d’introspection du psychisme humain, de délier les nœuds ou les liens qui ligotent et aliènent la psyché des patients. Il s’agit de réduire la souffrance, de dénouer les conflits psychiques, par l’expression de la libre parole qui permet ainsi à l’inconscient de s’exprimer.
Afin d’exhumer les conflits ancestraux, il s’agit de parler, de ramener les images, de réveiller la mémoire et, progressivement, d’attirer vers la conscience les scènes du passé qui ont déterminé nos destins. Ainsi retravaillées, un espace symbolique s’élabore et permet une meilleure inscription dans le réel de la vie. Ainsi réduites, les nuisances s’atténuent, puis … disparaissent. L’anxiété diminue et la confiance en soi revient. Lyon 9 – Jacques Chapeau
L’objectif est donc de pouvoir d’abord gérer au mieux les angoisses et les symptômes, de travailler ensuite les répétitions, avant d’obtenir la liquidation des angoisses et des symptômes. Psychanalyste Belleville sur saone.
Psychanalyste Belleville sur saone – Jacques Chapeau
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La psychanalyse, sur Lyon 9 et Belleville-sur-Saône – Jacques Chapeau
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Psychanalyste Belleville sur saone
Cette technique, visant à faire naître ou renaître le désir et le bien être du patient, s’adresse aux sujets à comportement violent ou agressif, aux personnes qui souffrent d’angoisses ou de problème de comportements, ou encore celles qui sont en manque de confiance ou en situation de troubles de la concentration, celles qui sont en situation d’échecs récurrents, scolaires ou professionnels. Il s’agit d’une méthode alternative à celle employée par les psychologues et par les psychothérapeutes.
Lyon 9 – Jacques Chapeau. D’autres situations plus lourdes peuvent être prises en charge comme les problématiques sexuelles, les troubles obsessionnels, phobiques, les personnalités colériques ou les personnes en dépression.
La psychanalyse Freudienne
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La psychanalyse freudienne a été inventée par Sigmund Freud (1856-1939). Installé à Vienne en Autriche, Freud consacre le début de sa carrière à la neurologie, une spécialité médicale traitant les pathologies du système nerveux. Au fil de l’avancement de sa réflexion, ses travaux évoluent et aboutissent à la création de la psychanalyse.
Selon la psychanalyse freudienne, le fonctionnement psychique d’un individu peut se diviser en trois instances : le « ça », qui représente l’inconscient, le « surmoi », qui regroupe les différentes valeurs morales d’une personne dont l’éducation et le « moi », qui correspond à la conscience propre du Sujet.
La psychanalyse, méthode alternative à celle employée par les psychologues et par les psychothérapeutes (Lyon 9), accorde beaucoup de place à l’inconscient. Les messages envoyés par l’Inconscient sont travaillés en séance à travers les rêves, les actes manqués, les lapsus… Elle s’intéresse aussi aux mécanismes de défense psychique, en particulier le refoulement des souvenirs trop douloureux dans l’inconscient, ou encore le déni. Elle donne également une place importante aux désirs sexuels: Freud considérait que les pulsions sexuelles refoulées étaient à l’origine de nombreux troubles psychiques. Il convient ici de ne pas toujours entendre le terme sexuel dans le sens de la génitalité.
La psychanalyse Lacannienne
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La psychanalyse est et demeure la science de l’Inconscient et du Désir. En fait, les objectifs de la psychanalyse lacanienne sont identiques à ceux de la psychanalyse freudienne : il s’agit de réduire la souffrance, de dénouer les conflits psychiques, par la parole et l’analyse des rêves par exemple. C’est en effet dans notre langage et nos rêves que l’Inconscient s’exprime. Nous sommes des êtres de parole, c’est comme cela que l’on peut se définir : nous sommes des « parl’êtres » comme disait Jacques Lacan. C’est la parole qui nous a permis d’être, mais c’est aussi à travers celle-ci que l’on va pouvoir débusquer les problèmes de développement du Sujet.
Lacaniens et freudiens s’accordent aussi sur une idée essentielle : ce sont les fantasmes sexuels infantiles et les événements oubliés de l’enfance qui forment le contenu de l’Inconscient et sont à l’origine de nos névroses d’adultes. Or, pour les exhumer, une seule solution, parler pour remémorer et symboliser. Les mots font revivre les scènes, réveillent le refoulé et, progressivement, attirent vers la conscience les scènes du passé qui ont déterminé nos destinés.
Si tous les lacaniens se réclament de Freud, tous les freudiens ne sont pas lacaniens. Principal point de divergence : la pratique lacanienne des séances et l’imagerie de la parole et de la langue chère aux linguistes.
Jacques Marie Lacan (1901-1981) a été chercher des sources d’évolution de la psychanalyse dans de nombreuses disciplines comme la théologie, la cybernétique, l’ethnologie, la linguistique et les mathématiques. Peu désireux de s’en tenir aux dogmes freudiens, il a introduit de nouveaux concepts prolongeant la théorie freudienne, ce qui rend sa théorie plus évolutive que les seules références au père cher à Freud, ou la mère chère à Mélanie Klein. Avec Lacan, il s’agit surtout de fonction que ceux-ci représentent.
C’est aussi lui qui introduit dans ses concepts en 1936, le « stade du miroir », qui rend compte de la genèse du moi : c’est en se contemplant dans le miroir pour la première fois, en compagnie d’un adulte qui lui dit : « Tu vois, cet enfant, dans la glace, c’est toi », que le jeune individu acquiert la conscience d’avoir un moi. En 1960, il introduit la notion d’« objet a », qui explique l’insatisfaction si fréquemment rencontrée par les humains dans leur vie amoureuse. L’« objet a » est l’objet premier du désir enfantin : c’est le sein, la voix, les bras et le regard maternel, que l’adulte recherche toute sa vie en ses partenaires. Sans jamais le trouver. Reste à savoir si l’objectif ne serait de lâcher ses premières traces mnésiques, qui nous ont pourtant faits …
Les analystes non lacaniens prétendent que le patient doit être rassuré par un cadre immuable : un psy toujours égal à lui-même, des séances à durée déterminée. Les lacaniens, à l’inverse, privilégient l’effet de surprise tout en gardant un cadre, mais qui demeure symbolique. Ceci vise à provoquer une réaction de l’analysant qui est incité à s’interroger : « Mais que me veut-il, mon analyste ? » En se questionnant sur le désir de son psy et en émettant des hypothèses, il révèle en fait ses propres fantasmes et désirs qui vont alors pouvoir être analysés.
La séance se termine lorsque le patient a énoncé un mot, une idée qui éclaire sa problématique. Cette interruption inattendue lui permet de comprendre qu’il vient de faire surgir un élément important. Nullement obsédés par la régularité du rythme des séances, les analystes lacaniens n’hésitent pas à en accorder une séance supplémentaire en cas de difficultés.
Quelques limites à l’indication d’un travail d’analyse : le refus de l’hypothèse de l’inconscient, et l’impatience : on a mis des années à se fabriquer sa névrose par la répétition, inutile d’espérer en venir à bout en quelques séances…
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